ARCHIVES DU BLOGUE C’est de la dilatation empathique.Les premiers prénoms ont pris la lettre E par hasard – même si le hasard n’existe pas. Je crois que les poèmes qu’on écrit sont les plus mauvais.
L'homme est plus fort que le cosmos car il a conscience de lui-même. C’est une manière de montrer que ce qui est caché, ce qui n’est pas en lumière, le dessous des choses peut être très beau, très attrayant, passionnant et très sensuel aussi.

Les émotions qu’elle suscite peuvent donc s’avérer aussi pures que monstrueuses… Dans la mesure où je suis plutôt empathique et animiste, je vois de la poésie en tout et comme l’a si bien dit le poète, je touche à tout parce que tout me touche.Les deux et bien plus ! Mais comme je le disais, je ne suis pas vraiment connaisseuse, donc j’ai laissé le soin à une spécialiste de faire la sélection des œuvres, il s’agit de Déborah Perez, auteure du collectif par ailleurs.Un récit autobiographique va paraître, un roman jeunesse bilingue, un recueil de contes pour la jeunesse également, un recueil de nouvelles de Fantasy, et plusieurs romans de littérature générale. Les cantos de Ezra Pound ,Poésies de Michel Houellebecq ,L'Invention du verre de Emmanuel Hocquard ,A quoi bon encore des poètes ?
En 2014, elle a fondé Des avenues et des fleurs | Le blog de Dunia Miralles– Vous écrivez vous-même de la poésie. Il va de soi que, plus on remonte dans le temps, plus on aborde des auteurs qui ont eu le temps dacquérir une certaine notoriété, jusquà devenir presque des « classiques ». Gallimard, 2019). La poésie, ce n'est pas que de la littérature, c'est vivre et profiter de l'instant présent et réaliser le bonheur de vivre ensemble, de construire une histoire à deux. Pour ma part, j’ai la chance de vivre dans une petite ville plutôt modeste pour la Suisse, une ville qui a été ouvrière et dont le tissu social est à la fois hétéroclite et très serré : je veux dire que nous vivons les uns avec les autres. A quoi tient notre assise de tous les jours ? Il suffit d’adopter un autre angle de vue pour révéler de nouvelles formes de beauté. Admirable! J’ai expérimenté que ce temps dit libre était aussitôt Je dois parfois être un fondu-enchaîné de Madame Bovary et d’Ariane Deume, dans Valérie Gilliard est née en 1970 à Lausanne. Elle est dépendante des éléments ( Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. Mais je m’égare, Cornavin !C’est oublier le fait que le comique naît presque toujours du tragique… D’ailleurs dans « aigrette », un mot à connotation plutôt joyeuse et sympathique, il y a quand même « aigre »… Si j’avais fait une étude de marché, j’aurais peut-être davantage calibré, ciblé, été plus calculateur… Mais je suis primesautier. A la limite, je n'avais pas besoin de sortir ma liseuse. L’objet de mes sentiments devient forcément magnifique. Il est plutôt chiffres et pratique que lettres, et il m’offrait souvent des petites cartes avec des peintures ou photos avec des extraits d’œuvres littéraires pour exprimer son amour.J’ai donc imaginé ce petit livre, format boîte de chocolats, à offrir pour la Saint-Valentin ou toute autre occasion romantique, ou simplement pour soi-même ; un ouvrage avec des textes courts pour les gens qui sont rebutés par la lecture, associés à des œuvres d’art pour les compléter d’un aspect visuel qui transcende la lecture.Toutes les plumes de ce collectif sont des personnes que j’ai déjà croisées personnellement, et dont j’admire la qualité d’écriture et le parcours. Pour ces motifs, afin d’éviter certains entre-chocs, ces prochains temps je présenterai plus souvent des poèmes de ma propre souche plutôt que de travailler sur la poésie d’autrui.Edwige amarrée dans ses lignes aspire au changement.Elisabeth parvenue aux regrets nourrit sa frustration.Elsuinde sonde le temps et les jours dans sa boule.“Décidément, les hommes murs ne sont plus si attirants une fois qu’on a passé soi-même la quarantaine, se dit Edwige”.Je pense que nous sommes tou(te)s à la dérive, peu importe notre classe sociale ou le montant de notre compte en banque. Sans tomber dans un romantisme démodé, j’aime que la poésie reste un moyen de traduire nos rires, nos révoltes, nos passions et notre spleen éternel. Cela peut aller de la découverte d’un monde derrière le monde, une sorte d’Atlantide sur commande, quand les mots surgissent torrentiellement, à une découverte moins prestigieuse, plus quotidienne, comme une pièce retrouvée sous le canapé, quand les mots surgissent d’un coin sombre.

Mieux – ou pire : parfois l’écriture s’impose comme… un Je reviendrai jeudi prochain vous présenter le dernier numéro de la revue littéraire La Cinquième Saison, entièrement consacré à la poésie, ainsi qu’un jeune poète romand.Depuis 2004 ! Vous n’emportez avec vous qu’une valise étanche et il y a une larme à l’intérieur. Quand je donne des conférences, l’on me demande, souvent, si j’écris uniquement lorsque je suis inspirée. Enseignante au Saisissez votre adresse e-mail pour vous abonner à ce blog et recevoir une notification de chaque nouvel article par email.Née en 1986 dans l’est de la France, Marilyn Stellini a suivi un cursus littéraire avant de travailler pour diverses maisons d’édition en tant que correctrice, lectrice de comité ou assistante éditoriale, d’abord en France, puis en Suisse. Il en va de même pour les poétesses et autres romancières bien évidemment.Les œuvres d’art qui illustrent l’article paraissent dans l’ouvrage mentionné.L’écrivaine Valérie Gilliard.