L'exercice de la critique s'avère extrêmement compliqué face à une telle œuvre. J'ai failli lâcher, mais j'avais envie d'en voir plus ! On leur a vendu un concept, au minimum, si ce n'est une histoire. On pourrait ergoter à l'infini sur les sens à lui donner, sur les incohérences, les éléments de snobisme, les dialogues énigmatiques ou verbeux. Certes, on pourra trouver pas mal de clins d’œil, mais bordel à queue! En effet, on peut être tenté de théoriser, d'analyser, de se livrer à une masturbation cinéphilique en égrainant les références. Docteur_Jivago Holy Motors est un film mortifère qui aux premiers abords nous gratifie de son chant du cygne sur disparité... Découvrez, notez et partagez sur SensCritique.
Incontestablement, Holy Motors a des qualités. Une fois de plus, merci qui ? Il habite l'écran à lui seul, même sous des tonnes de... Il n'a pas d'artiste sans public, lequel est aussi éternel. #Basé sur un exercice scolaire consistant à se limiter à une scène pour critiquer.# Parler d'Holly Motors pour ma part serait vain. Revoilà Léo Carax de retour derrière la caméra 13 ans après son dernier film "Pola X". Ce sont des gens comme Carax qui creusent le fossé entre le public et l'art, niant à ce dernier le lien pourtant primordial, vital au premier, son essence même.
S'ouvrant sur... Oui, voilà, ce film est une farce qui, de temps en temps, voudrait cacher les plis du gras sous des scènes qui se veulent émouvantes ou subtiles.
Liste de 10 films par Olyalya. Cependant je perçois le message, la morale que Leos Carax a voulu mettre ici. Difficile de répondre du tac au tac à cette question tant la dernière œuvre de Leos Carax sort des sentiers battus cinématographiques contemporains avec un regard parfois pessimiste, amer (aigri ?) ), Holy Motors est avant tout un film intimiste. Holy Motors (Leos Carax - 2012) Rubrique consacrée au cinéma et aux films tournés à partir de 1980. "Lourd" me parait le terme le plus propre à qualifier l'hommage rendu au Dr Cordelier de Renoir ou aux yeux sans visage de Franju par exemple.Par conséquent, il ne me reste plus que la connerie, la mienne, pour expliquer que ma cervelle ne soit pas foutue de recoller les morceaux comme il se doit. Au même titre qu'un Weerasethakul ou qu'un Assayas *, on... C'était l'un des films les plus attendus, et il n'a pas déçu : “Holy Motors”, de Leos Carax, brille par son inventivité, son humour et l'émotion qu'il provoque chez le spectateur. L'admiration devant Lavant, parfait en... Holy Motors n’est pas un film compliqué (ne fuyez pas !
La suite échevelée de fictions qu’il amorce puis abandonne avec M. Oscar, son personnage transformiste, tire sa substance de notre tumulte quotidien, tout à … Starbuck,
Mais appréhender ainsi "Holy motors" est selon moi une erreur. Si tel est le cas, Holy Motors se révèle être composé... Docteur_Jivago - Je continue comme j'ai commencé: pour la beauté du geste. Mercredi à 20h50 pour les retardataires. Seul un liseré de lumière blanche provenant de la cabine de projection... Foutre dieu, que le contraste est puissant! sur la place de l’humain dans un monde virtuel sans visages. Ça pourrait... Lire l'avis à propos de Holy Motors Le film est abscons, pédant, vaniteux et emmerdant, a priori, pour celui, comme moi, qui ne parvient pas à faire lien entre toutes ces vignettes in-assorties, ces sketchs isolés, posés là sous notre regard, nous laissant inerte, infoutu de capter la moindre pensée cohérente de ce magma informe, le première comme la dernière pensée intelligible, ni même la moindre émotion véridique, profonde, fouillant l'âme du spectateur. Comme quoi, je ne suis pas seul à porter ce fardeau et même un éminent critique comme Michel Ciment peut se laisser aller au non-argument, à des fumeuses conjectures de cours de récré.Mais ce qui me frappe comme un éclair de lucidité, au détour des élucubrations de Ciment, ce sont les déclarations de Carax, que Ciment reprend, quand on l'interroge sur son cinéma et sur le public. Je ne le formulerai même pas comme une interrogation. Leo Carax a le don d'à la fois me fasciner mais en même temps de m'ennuyer. Leos qu'arrache - On dit que la beauté est dans l'œil, dans l'œil de celui qui regarde Moonrise Kingdom, L'exercice de la critique s'avère extrêmement compliqué face à une telle œuvre. Et il faut une sacrée dose d'arrogance ou d'imbécillité pour ne pas voir cette évidence. On sent bien une introspection du réalisateur sur sa filmographie manquée, on comprend le regard... Revoilà Léo Carax de retour derrière la caméra 13 ans après son dernier film "Pola X". Treize longues années ont été nécessaires à Leos Carax pour revenir au cinéma français accompagné d’un long-métrage sélectionné au Festival de Cannes 2012. Il n'y a pas même de colère : on attend juste des indices, des clés, un élément au moins qui ferait sens mais il n'arrive jamais. Les critiques, franchement franchouillardes, criaient au génie pour Carax, au complot ego-nationaliste de Moretti quand la palme est allée vers des ailleurs scandaleux. takeshi29 Holy brius Je comprends mieux pourquoi "Holy Motors" est imbitable : c'est bel et bien la pose que je craignais, la hautaine et vaine fable de l'auteur créant un truc si moche et obscur qu'il en résulte un conflit inévitable avec le public, qui décidément ne comprend rien, ce crétin de public qui n'est tellement rien face à l'artiste maudit, le public qui meurt, l'auteur qui survit, le public sale, bête et moche, l'auteur pur, brillant et beau. La complexité ne vient pas forcément de la forme du film, elle est surtout due aux pensées marginales que son réalisateur y insuffle.
Holy Motors a surgi de l’état contemporain du monde et du cinéma. Aucune réponse. Ou, du moins, il n'y en a pas qu'un seul.