Cette critique de FALSTAFF a été réalisée à l’occasion de la ressortie du film … Hal turns his back on Falstaff and proclaims that he is now finished with his former lifestyle. C'est ainsi qu'on le voit dans Le Troisième Homme de Carol Reed (1949). Enfant précoce et prodige, il perd ses parents au début de son adolescence. Le film préféré d’Orson Welles. Un film historique simulant la richesse à l'écran est fabriqué en petit comité, presque comme une affaire de famille. The film's plot centres on William Shakespeare's recurring character Sir John Falstaff and the father-son relationship he has with Prince Hal, who must choose between loyalty to his father, King Henry IV Le temps du Béarnais", le cinéma Le Méliès s'associe au Château de Pau et programme la projection du film "Fallstaff" d'Orson Welles. Il se rend compte qu'il est grassement payé pour ses prestations d'acteurs. En 1934, il réalise The Hearths of Age un film muet de cinq minutes. On repense à cet auteur défait, mythomane au possible, qui n'avait rien de plus que sa tête et ses souvenirs pour entretenir sa légende.à la fin du film, son Falstaff meurt de chagrin après avoir été démasqué, comme si, en arrachant le masque, c'est le visage trop collé, trop pris à l'image, qui était parti, arraché d'un corps maintenant sans vie. Orson Welles considérait ce film comme son meilleur film avec Dans une taverne, le prince Hal, fils du roi Henry IV d'Angleterre, mène une vie dévergondée sous l’influence du chevalier Jack Falstaff, son tuteur. Pour Falstaff, il est allé chercher les meilleures répliques chez le meilleur écrivain de tous les temps.
Notre distance par rapport aux personnages ne pouvait guère être plus grande ; et cette mise à distance, même si elle était parfaitement adaptée au récit d'une omnipotence puérile, était peut-être la preuve de l'immaturité artistique de Welles ; mis dans l'obligation de se définir, ce dernier se forgea un style qui prouvait le caractère illusoire de toute définition. » Dernier grand film de Welles ! Et pourtant, c’est lui qui, au final, incarne la fougue de la jeunesse – malgré son âge –, la générosité et l’innocence lorsqu’il se retrouve confronté à l’intransigeance du jeune prince devenu le roi Henry V. Dans cette scène, la plus bouleversante dans la filmographie de Welles, le cinéaste s’éternise sur le visage meurtri du vieil homme condamné à l’exil par celui qui était son compagnon le plus cher. Rien ici qui corresponde au jeu de miroirs du premier film ; il y a bien la séquence de la bataille, l'une des plus grandes réussites de l'histoire du cinéma dans la réalisation d'une scène d'action, mais elle ne se présente pas comme un exercice de style, et le spectateur la ressent comme une irrésistible expérience physique.
Film de Orson Welles avec Orson Welles, Jeanne Moreau, Keith Baxter : toutes les infos essentielles, la critique Télérama, la bande annonce, les diffusions TV et les replay.
Hal and Poins poke holes in Falstaff's tale until they reveal their joke to the entire group. Incompris, il est aujourd'hui considéré comme un réalisateur visionnaire.
"[Falstaff]'s good in the sense that the hippies are good. Un chef-d’œuvre complet, à la fois grandiose et très personnel.Necessary cookies are absolutely essential for the website to function properly. Les critiques salueront unanimement Citizen Kane alors que le public le bouda. Jouer la sécurité ne vaut rien. It stars Welles as Falstaff, Welles had previously produced a Broadway stage adaptation of nine Shakespeare plays called The film opens with Sir John Falstaff and Justice Shallow walking through the snow, then to a warm fire inside the Boar's Head Tavern, as the two reminisce. » « Tirant les leçons d'Othello et du Procès, Welles invente en Espagne un nouveau puzzle spatial, tournant les fragments d'une même scène à des mois d'intervalle, dans des lieux divers, en privilégiant la rapidité d'exécution et l'enthousiasme plutôt que la cohérence des raccords. Les acteurs sont magnifiques, ils crèvent littéralement l'écran. Mais dans Falstaff j'ai su qu'il avait touché juste. Il la poussait avec les rares machinos, et tirait lui-même les câbles, de concert avec quelques électros. Quand j'ai vu Falstaff, j'ai eu le sentiment qu'il était enfin parvenu à ce qu'il voulait, quoi qu'ait pu en dire la critique. The next morning Hal, Falstaff, Bardolph, Peto, and Poins disguise themselves in Gadshill to prepare to rob a group of traveling pilgrims. At the castle, Henry becomes upset when told that Hal is once again spending time with Falstaff, and collapses. Puis en 1948, il monte La Dame de Shanghai.
Il aura une jeunesse dorée, rythmée par de nombreux voyages à l'étranger. ... Welles décrit Falstaff … Plus qu'une grande adaptation de l'univers shakespearien, Falstaff est le chef-d'Åuvre sombre, triste et longtemps incompris de Welles, une sorte d'ultime cri tragique, peiné par la trahison d'un système, entremêlant quatre pièces (Richard II, Henry IV, Henry V, et Les Joyeuses Commères de Windsor) sans aucune difficulté.
Perdant magnifique, qui semblait prendre plus de plaisir à concevoir ses films qu'à les terminer, Orson Welles n'a jamais cédé à la plainte.
Grâce à Charlton Heston, il fait La Soif du mal (1958), puis en 1963 Le Procès d'après le livre de Kafka. Il y est toujours plus grand que nature. Le chef opérateur Edmond Richard, n'ayant pas suffisamment de projecteurs, usait d'un subterfuge inédit pour éclairer les immenses salles médiévales : il avait tendu du papier d'argent tout au long des murs qui n'étaient pas dans le champ. Dans tous ses films, Welles est acteur, qu'il soit devant ou derrière la caméra. Welles est passé du sommet de son art aux déceptions de la fin de sa carrière, mais il a pourtant été capable de mettre toute cette émotion dans ce film. This category only includes cookies that ensures basic functionalities and security features of the website. » « Falstaff est le chef-d'Åuvre de Welles, l'aboutissement le plus complet, le plus parfait de tout son travail depuis Citizen Kane, qui avait déjà lui-même marqué l'aboutissement d'une première période.