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Tout est ravi quand vient le Jour Dans les cieux flamboyants d’aurore. Publié le 20 juillet 2014 Aujourd'hui, Olivier Barbant.

Merci chère  DORIS ! [ Paul Claudel ] … pas de soleil??? Le premier mois est gratuit !Tribunes, entretiens, blogs, éditos, forum des Mariannautes… Ils ne pensent pas (forcément) comme nous et débattent sur le site de Marianne.« Pourquoi as-tu fendu la peau de ma paupière par le milieu ?»C’est un parc au matin ou le grand jardin d’un châteauUn jour naissant par sa pâleur rend les couleurs profondesL’herbe allonge jusqu’à l’horizon sa longue émeraudeD’un fouillis de tilleuls pointent des têtes de sapinsC’est d’abord un instant dans une aube d’été où traînent en écharpeMais où l’on sent vibrer déjà sous les nuées la tôle brûlée du soleilMais pour l’heure un jour faible contient encore l’or à venir sous ses fuméesAu fond d’un long silence blanc c’est à peine si l’on entendUne eau qui glisse ou la soie froissée d’une aile d’oiseauEt l’image qui s’enfonce comme un bras dans la ouate de l’horizonPourrait s’appeler l’Eden ou le paradis d’une nature certes très arrangéePourtant les colonnes de pierre aux veines presque vertesLa majesté de l’escalier comme descendant d’une scèneLe parc peigné pour que la perspective invente un effet de faux infiniAyant avant pour se vêtir roulé à ses hanches le premier tissu rencontréUn lourd velours sur quoi le jour ruisselle et peine à pénétrerEt de face son buste en jaillit comme s’ouvre une fleurSans savoir quelle part au rêve et quelle à la mémoirePour se placer à l’exacte frontière entre la vaste salle de bal encore obscure derrière luiPuis écarte les bras et respire comme s’il fallait recevoirD’une seule lente goulée toute l’eau grise du petit jourSous chaque aisselle révélée un bouquet de poils noirs qui retient le regardAvec ce mélange de gêne et d’insistance cependant par quoi l’on se sait fascinéCette tache animale faisant d’un coup passer la parfaite peinture dans le monde des corpsUn homme comme crucifié devant le miroir que lui offre l’étéQui savoure le mélange de sa sueur à l’odeur sage des orangersAussi somptueux soit-il qui suppose son poids de chair pour qu’enfin tout s’ordonneEt que le parc et les nuées comme l’heure encore alanguieQue chaque embryon de lumière comme les angles d’un verre briséQue la tache sanglante des fleurs la folie des feuillagesA lire de l'auteur : Un grand Instant, Champs Vallon (Prix Apollinaire 2019).… on aimerait vous dire un dernier mot. ( hier pas de connexion, suite aux orages, je suppose, tout est revenu en ordre ...je suis soulagée de voir que 'rimeuse   ne soit pas enquiquineuse'!!! Le jour qui vient, un poème d'Esther Granek. (4359 lectures) !quel régal! Aller au contenu. !bravo...j ai la chance l hiver de voir le lever de soleil sur la mer c est un spectacle merveilleux,dont on ne peux se lasser,ici c est l arrivé des touristes qui viennent profiter de notre soleil et oui! Ce poème contient beaucoup de subtilité dans ce genre, maintenant, à vous de les trouver. !et là ,il fait gris en ce moment...et vous  maitre jean pierre  merci...de votre approbation...j'ai des cahiers plein de textes...vous  en aurez d'autres à lire..bonjour,DORIS ,"Suite à des problèmes de'liaison'hier  (pas de Net) je vous félicite,d'abord ,avec vous ""c la Constellation"""avecce «joli Poème»depuis .mon regard se pose "tout en haut"agréable;merci de nous faire Plaisir........dans cet Eden inconnu& pourtant si Réel:mon sourire se joint à vous; ainsi qu'à ttes les Ordssinettes(autes) ....jque de poétes sur ordissimo!!! Un poème en forme d'invitation au voyage, composition à partir d'un lieu, est ainsi lu et reproduit sur notre site. Les astres au ciel noir commencent à neiger, Et là-bas, immobile au sommet de la côte Rêve la silhouette antique d'un berger.