Elle symbolise la femme enceinte dont le ventre, rond, croît et décroît. Par exemple, à la suite des fouilles franco-guatémaltèques menées à Le Postclassique maya voit la montée en puissance de l'influence des Nahuas du Mexique central, tant dans les Hautes Terres du sud que dans le nord du Yucatan.

J.-C. Il est très difficile de faire la différence entre la culture pré-maya et la civilisation Vers 300 av. Ceux qui sont particulièrement grands, ou qui comportent différents niveaux, étaient peut-être utilisés comme acropole. À l'argument géographique (plus de 13 000 kilomètres) s'ajoute l'argument temporel (plus de 3 500 ans).

Une attention particulière est portée à l'orientation des temples et des observatoires afin de respecter la cosmogonie maya. Ils utilisaient de l’encre noire et rouge, d’où le nom donné au territoire maya par les Les scribes avaient une position sociale très importante, les fresques montrent souvent les puissants avec du matériel d’écriture. Il semble aussi que ces palais étaient utilisés comme tombes. Les Mayas croyaient en la récurrence des cycles de la création et de la destruction.

De plus, une même syllabe peut être représentée de plusieurs façons : parfois plus de dix glyphes pour une seule syllabe et avec des tracés divers. Comme dans d'autres cultures écrites, des textes accompagnent souvent des représentations. Cette croyance explique que les futurs sacrifiés sont souvent consentants, voire volontaires. Il semblerait que l'affaiblissement du monde maya ait entraîné des mouvements de populations chichimèques et par là même un renouveau du pouvoir nahua, dorénavant aux mains des Les quelques cités mayas qui avaient perduré pendant l'Épiclassique et le Postclassique ancien, notamment les cités Le Postclassique dans les Hautes Terres du sud présente aussi de grands changements et une mexicanisation importante. Pour des raisons diverses, les archéologues ont longtemps négligé l'étude des modes de production et de distribution chez les anciens Mayas : les textes mayas de l'Époque classique sont quasiment muets sur le sujet ; pour l'Époque postclassique, nous disposons des observations d'auteurs espagnols, sensiblement plus rares pour les Mayas que pour les Aztèques, notamment la Les ressources étaient variables selon l'environnement local, sensiblement différent dans les Hautes-terres, les Basses-terres du sud et du nord.. Pour assurer leur subsistance, les Mayas pratiquaient la chasse et la Les Mayas tiraient à l'origine le plus gros de leur subsistance d'une Les différents peuples mayas entretenaient de nombreuses relations commerciales avec des cités lointaines. De nombreux mythes y furent associés.

Certains pensent que ces structures sont des observatoires car depuis la pyramide, le soleil apparaît dans l’alignement exact des petits temples lors des Les pyramides sont probablement l’élément visuel le plus connu de la civilisation maya. Ces ouvriers mayas ne disposent que d'outils en pierre ou en bois ; ils ne connaissent ni le métal, ni la traction animale, ni la roue. Bien au contraire, la jungle envahissante a systématiquement repris possession des espaces dégagés. Lorsque les rois mouraient, ils empruntaient le chemin lié au mouvement cosmique du soleil et tombaient dans le Monde inférieur, mais parce qu’ils possédaient des pouvoirs surnaturels ils renaissaient dans le Monde céleste et devenaient des dieux.

Les Mayas voyaient la Terre comme une forme plate et carrée.

Ces zones écologiques correspondent grosso modo à des zones culturelles. »les mayas n’utilisaient ni outils en métal, ni poulies, ni animaux de traits ou de portage, ni la roueAvant l’ère des Toltèques, on sacrifiait plutôt les animaux que les humains.Stahle, D. W., J. Villanueva-Diaz, D.J. L’architecture classique maya peut se résumer en une division de l’espace en deux : un espace public monumental, urbanisé et un espace privé relégué au second plan. J.-C., on assiste à la multiplication des sites et à une activité architecturale intense, signe d'un fort accroissement de la population, particulièrement dans les cités de Entre 150 et 250 de l'ère chrétienne, période souvent dénommée « protoclassique », des tensions apparaissent : crise de croissance ou invasion, nul ne le saitCette période, que nous connaissons de mieux en mieux grâce au déchiffrement de l'Dans les Basses-Terres du sud, le Classique ancien est dominée par deux grandes métropoles : Tikal joue un rôle prédominant dans la première partie de cette époque qui marque l’apogée de la culture maya.