Animé de la foi la plus inébranlable dans la victoire, il lègue au soldat français un souvenir impérissable qui exaltera l'esprit de sacrifice et provoquera les plus nobles émulations.
Restera le plus pur symbole des qualités de la race : ténacité indomptable, énergie farouche, courage sublime. Héros légendaire, tombé en plein ciel de gloire, après trois ans de lutte ardente.

Les 10 avions de chasse les plus fous du monde Abonnez-vous! Sans aucun doute, il était d'une classe bien supérieure. Départ pour une mission de chasse de Georges Guynemer, aux commandes du SPAD VII n° S 115 qu'il a perçu le 27 août 1916 - Cet avion sera abattu par l'artillerie française, le 23 septembre de la même année - Guynemer a remporté quatre victoires homologuées à ses commandes - Cliquez sur l'image pour l'agrandir - Photo collection François Vincent que je remercie pour son aide. » Volant sur différents types de Morane-Saulnier, de Nieuport, de SPAD (VII, SPAD XII canon, SPAD XIII). Les avions tournoyèrent quelque temps, puis disparurent. Bien que quelques SPAD VII fussent livrés aux unités de premières lignes dès le mois d'Les Anglais étant intéressés par cet avion, des mesures furent prises pour produire le S.VII sur le sol britannique, Cet appareil possédait une structure très robuste, le fuselage étant composé d'un cadre en bois recouvert de tissu, tandis que la partie avant était en acier recouverte d'une bâche. Guynemer s'en sert pour abattre un Fort de son expérience acquise au combat, Guynemer écrit à Guynemer, la mine soucieuse, semble fatigué et demande de l'aide au capitaine Ni l'épave de son avion, ni son corps, ni ses effets personnels ne furent retrouvés, mais les Allemands annonceront qu'il a été abattu par le lieutenant Le capitaine Georges Guynemer est porté disparu au combat par son commandant d'escadrille, le commandant Brocard ; le « Dans la matinée du 11 septembre, le capitaine Guynemer, parti en reconnaissance dans la région des Flandres, s'est trouvé, au cours des péripéties d'une poursuite d'avion ennemi, séparé de son camarade de patrouille et n'a pas reparu depuis. Le cadavre avait reçu une balle dans la tête ; une jambe et une épaule étaient brisées mais sa figure était reconnaissable et ressemblait à la photographie qui se trouvait sur sa carte d'identité portant le nom Georges Guynemer. » Cet ordre péremptoire donné par le commandant Brocard, le patron de la chasse française, vise un jeune homme malingre qui vient de casser pour la deuxième fois consécutive le train d'atterrissage des deux avions qui lui ont été confiés. Alors le lieutenant Bozon-Verduraz retourna vers l’endroit où il avait laissé Guynemer aux prises avec son adversaire. Celui-ci le vit, alors qu'il semblait être trop tard. » »Extrait du registre des baptêmes de la paroisse de Cuverville (source revue Document indiquant que le soldat Guynemer à bord d'un MS12, est parti d'Avord à Charles Bonnard avait pour mécanicien Charles Guerder et lorsqu'il partit pour le front d'orient à Salonique, Guerder devint le mécanicien de Guynemer qui hérita du . La carrière militaire de Geoges Guynemer avait commencé trois ans plus tôt. D’après le témoignage de son co-équipier, Jean Bozon-Verduraz, la trace du capitaine Guynemer se perdit quand ce dernier fonça sur un Rumpler, un avion d’observation allemand. D'après constatation médicale, la mort était causée par une balle dans la tête ; l'index de la main gauche avait été emporté.

Cette cérémonie rassembla en lisière de l’aire d’envol, face à l’entrée du quartier Ferber, de nombreuses autorités civiles et militaires, parmi lesquelles le colonel Gaston Ludmann, ancien commandant du Inscription au Panthéon : « Mort au champ d'honneur le 11 septembre 1917. Un as et ses avions : Georges Guynemer Georges Guynemer (1894-1917) On ne présente pas Georges Guynemer, archétype du pilote de chasse français, dont la devise "Faire face" est encore celle de l' Ecole de l'Air à Salon de Provence. Elle se déroula en présence d’une délégation composée d’officiers provenant de chacun des centres d’aviation, avec la participation des autorités civiles et militaires locales. Après la guerre, de nombreux SPAD S.VII furent utilisés jusqu'à la fin des Ainsi « La Chambre invite le Gouvernement à faire mettre au Panthéon une inscription destinée à perpétuer la mémoire du capitaine Guynemer, symboles des aspirations et des enthousiasmes de la nation.


Il se croyait perdu, lorsqu'il s'aperçut avec joie que les deux mitrailleuses de Guynemer étaient enrayées. Le Plus étonnant, un autre utilisateur du SPAD S.VII fut l'Allemagne, plusieurs appareils intacts étant capturés par les Allemands et austro-hongroises et réutilisés au combat. « Votre as surprit Wissemann à cinquante mètres à peine par derrière. Le service compétent du front communique que les coups de canon avaient bouleversé la campagne, et les Marine Nationale Avion De Ligne Cigogne Aviation Militaire Avions De Chasse Armée De L'air Rafale Patrouille Guerre Mondiale L'enterrement a eu lieu à Bruxelles en présence d'une garde d'honneur, composé de la « Le capitaine Guynemer est tombé après une lutte aérienne le 11 septembre dernier à dix heures du matin, près du cimetière d'honneur 11 au sud de Poelcapelle. Son armement se composait d'une unique mitrailleuse Vickers tirant au travers de l'hélice au moyen d'un dispositif de synchronisation "Birkigt". « Foutez-moi ce petit con dehors !

Tous nos moyens d'investigation mis en jeu n'ont donné jusqu'à ce jour aucun renseignement complémentaireDes détails supplémentaires sont fournis par le commandant Brocard, dans un entretien au journal parisien « À 4 600 mètres de hauteur Guynemer aperçut un biplace ennemi auquel il livra aussitôt combat. Selon un communiqué de la Croix-Rouge américaine sur le front français du « Des informations reçues par la Croix-Rouge disent que Guynemer a été tué d'une balle dans la tête au nord de Poelcapelle, sur le front d'Ypres.